Pardonner n’efface pas la faute commise à votre égard,
ni la douleur qui vous a été infligée mais garder de la rancœur,
éprouver de l’amertume vous vole une part de votre joie.
Pardonner, c’est comme ouvrir la porte d’une prison et vous apercevoir que le prisonnier, c’était vous!
Prisonnier de la colère, du sentiment d’injustice, du chagrin…
En pardonnant, on fait un cadeau, non pas à l’autre, mais à soi-même. On s’offre plus de sérénité.
Pardonner libère l’esprit, ouvre le cœur, apaise le corps, valorise le bien, autorise la paix et permet la gratitude.
Et si vous n’êtes pas convaincu(e)s, je vous laisse avec les mots d’Oscar Wilde :
« Pardonnez toujours à vos ennemis, rien ne les ennuie plus ! »
Partagé avec l’aimable autorisation de Nadia Nanouche
Zelles Ô Féminin
www.zellesofeminin.be
Ajouter un commentaire