« Les choses de la vie » c’est le titre d’un très beau film de Claude Sautet, mais c’est avant tout une histoire qui raconte avec brio la capacité qu’a la vie de nous surprendre au détour d’un virage, de nous mettre des bâtons dans les roues pour nous stopper net, nous faire tomber…toujours quand nous nous y attendons le moins !
Après la chute inévitable, après le choc, la peur et la douleur, comment se réparer, se remettre sur pieds, comment ne pas rester prostré dans un état de victime, comment agir et entrer en résilience ???
Aucune crise ne survient, ni par hasard, ni pour rien !
Celle que le monde entier vient de traverser et qui n’est pas terminée, a eu une conséquence inimaginable il y a trois mois encore : nous enfermer chez nous, nous isoler, nous séparer…
Ce n’est pas rien et les effets ont été, sont et seront multiples pendant longtemps.
En effet, la privation de liberté (ce qui est déjà énorme pour nous) s’est vue augmenter de l’éloignement social, familial, amoureux et bien souvent très mal vécu.
Même les anciens qui ont connu la ou les grandes guerres, n’ont jamais eu à s’éloigner de ceux qu’ils aimaient par peur de leur « donner » la mort !
Je ne vais pas aborder, ici, la nécessité de changer la société, notre mode de vie, notre rapport à la nature. Non, je voudrais parler de ce que j’entends dans le cadre de mes séances de coaching.
Le confinement, bien que difficile à vivre, a permis, reconnaissons-lui cela, de se poser un peu, de se reposer parfois, de réfléchir beaucoup…
Il a offert du temps à foison et l’occasion de vivre une vie que beaucoup souhaitaient sans jamais y parvenir, faute de temps justement :
- PARTAGER plus de moments avec ses enfants
- Retrouver du PLAISIR à le faire
- PROFITER du jardin et du printemps
- CUISINER pour le plaisir
- Lire, marcher (quand c’était possible), écouter de la musique ailleurs que dans sa voiture
- Prendre des NOUVELLES des gens qu’on aime
- REFLECHIR à sa vie, à ce qu’elle est devenue pendant qu’on courrait, à comment on se sent dans cette vie-là, au SENS qu’on aimerait retrouver au milieu de cette pagaille (« sens » a deux significations : la direction et la valeur)
- Faire un BILAN de sa vie professionnelle, de ses valeurs, de ses besoins d’aujourd’hui qui, subitement, ne sont plus ceux d’il y a trois mois…
De cette pose, émergent peut-être des envies, des projets, des changements inévitables, des décisions…enfin !
OK, tout cela c’est très bien mais, reste la question essentielle : comment y arriver ?
Je vous répondrais par un mot :
PARLER
Tout voyage commence par un pas…et celui du changement, qu’il soit professionnel ou privé, commence par le fait d’en parler à quelqu’un qui sera tout à votre écoute.
PARLER calme, éclaire, rassure et structure la pensée !
PARLER mène au questionnement efficace, celui qui créera les réponses adéquates.
Exprimer à VOIX HAUTE ses propres envies les rend REELLES, les MATERIALISE en quelque sorte, elles n’existent plus seulement dans la tête.
Dans le calme rassurant de mon bureau, j’ai eu la joie de recueillir ces ENVIES DE S’ECOUTER et on m’a confié le besoin de travailler moins pour vivre plus, le besoin d’un travail plus en lien avec l’humain, l’envie de redonner du sens à sa vie, l’envie de se former pour travailler dans la nature etc…
Ne dit-on pas que nous devons être le changement que nous souhaitons ?
Pour toutes ces bonnes raisons, je vous propose un lieu d’écoute, une bulle rien que pour vous, pour y déposer votre parole, votre envie de changement, pour cheminer ensemble vers votre but.
Qu’attendez-vous ?
Découvrez mes outils de coaching sur mon site : arlettebayers.com
Ajouter un commentaire