« Hommage à Baudelaire, le plus grand maître du macabre de tous les temps »
Si vous aimez Mélissa Da Costa, il n’est pas certain que vous aimiez celui-ci si c’est son univers positif, rempli d’amour et d’espoir que vous cherchez. Cet ouvrage est très différent des précédents.
Dans « Tout le bleu du ciel », l’auteure nous touche par sa sensibilité profonde.
Dans « La Doublure », virage à 360 °, c’est un univers très dérangeant, noir et malsain mais absolument addictif… Lecture que j’ai dévorée avec curiosité, une vrai claque!
« N’a-t-on pas tous une fascination pour ceux que l’on considère comme notre exact opposé ? »
Comment réagiriez-vous si un jour on vous embauchait pour devenir la doublure d’une artiste attirante? Robes et bijoux offerts pour parfaire votre rôle. Couple sensuel, machiavélique et mystérieux…
Carla et Pierre Manan restent une intrigue pour la jeune Evie Perraud. Captivée par tant d’énigmes et par la beauté, il lui est difficile de résister. Peinture et luxure, comment flirter avec la limite du réel et de l’artificiel?
Peut-on être artiste sans artifice dans le monde de Calypso Montant? Quand l’élève aura dépassé le maître, quelle sera la sentence?
Le jardin d’Eden, la tentation, La chute… triptyque littéraire captivant et sombre à la fois. On en ressort avec une drôle de sensation … comme l’impression de revenir d’un endroit à la fois puissant, tentant et tellement destructeur.
N’est-ce pas le symbole de l’addiction ? Finalement, même si ce n’est pas ce que vous cherchiez à lire, laissez-vous tenter.
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