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L’assertivité une philosophie, un état d’esprit : celui du gagnant/gagnant.
Lorsque tout va bien, il est assez facile de répondre avec courtoisie, de faire plaisir tout en se faisant du bien, de comprendre l’autre et sa demande. En revanche, dans les situations délicates, nous avons tendance à nous laisser diriger par nos émotions, nos peurs, nos habitudes. Dès lors, au lieu d’être assertif, nous fuyons la situation, ou nous répondons avec un ton hargneux pour bien faire comprendre notre désaccord. Ou bien nous rendons les choses telles qu’elles tournent à notre avantage.
Pour comprendre le mécanisme de l’assertivité, rien de plus simple. Vous prenez un axe vertical qui vous concerne et un axe horizontal qui concerne les autres (ou l’autre). Aux bouts de chaque axe, on va opposer la situation « OK » et « PAS OK ». Pour chaque situation que nous vivons et interagissons avec quelqu’un, on peut se demander quelle position adoptent les protagonistes. Il faut entendre par OK: se respecter, répondre à ses besoins et faire respecter ses limites.
Si je ne suis pas OK et que l’autre est OK, je suis dans la passivité. Cet état est caractérisé par une absence d’écoute de ses propres besoins et limites. En quelque sorte c’est une façon de ne pas se respecter. Par exemple, la jeune secrétaire qui vient de commencer dans une entreprise. Durant l’entretien d’embauche et à la signature du contrat, les taches avaient été clairement définies. Il avait bien été question de quelques jours de formations mais après un mois passé dans l’entreprise, la secrétaire ne fait que la moitié des taches prévues, le reste étant remplacé par du travail de domestique ( faire le café, aller chercher les sandwich pour le service commercial, nettoyer la salle de réunion). Si bien que notre jeune arrivée ne se sent pas à sa place mais n’ose rien dire de peur de se faire virer au bout de la période d’essai. Pour chaque « oui » alors qu’elle pensait « non », la secrétaire collectionne un point sur sa carte de passivité et lorsque celle-ci sera pleine, elle risque bien de perdre le contrôle de la situation et de passer dans l’agressivité ou de grignoter son estime d’elle-même.
Si je fais croire à l’autre que je suis OK ou qu’il est OK sans vraiment que ce soit le cas, je suis dans la manipulation. Reprenons le même exemple que dans la situation précédente mais cette fois, le patron remarque au bout d’un mois que quelque chose ne va pas avec sa nouvelle recrue. Il lui demande alors: « Votre nouvel emploi vous convient-il ? ». Encore une fois, tenaillée par la peur du jugement de son responsable, la secrétaire se sent obligée de répondre « mais oui bien sûr, je ne pouvais rêver mieux » mais pense tout le contraire. Si la situation en restait là, ca serait de la passivité mais la secrétaire va mettre en place un système de contre attaque pour faire comprendre à son employeur qu’elle n’est pas respectée, sans pour autant le lui dire verbalement et clairement. s’engage alors un processus de manipulation, de ragots, de schémas visant à satisfaire son propre besoin sans tenir compte de l’état de l’autre.
Pascal,
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